C’est un spectacle qui tourne autour d’une interrogation : quand je prends la parole, qu’est-ce que les autres perçoivent de moi ? Quand je suis pris·e sous le feu des projecteurs, comme un lapin dans les phares, quand on attend de moi que je dise les mots justes, quand je ne peux plus me soustraire aux regards, comment est-ce que je m’en sors ?

QUAND TOUT LE MONDE TE REGARDE…

Le texte est une succession de petites séquences, qui traitent toutes de la prise de paroles face à un public, quelqu’il soit, de cette sensation que parfois les mots nous dépassent, en disent trop ou pas assez, que tout ce qu’on dit, ce qu’on fait a un impact qu’on ne maîtrise pas. Le spectacle est pensé pour être différent à chaque fois, à la merci du moment, des énergies…

A CHAQUE FOIS DIFFÉRENT…

Ce sont des actrices et des acteurs qui arrivent pour prendre la parole, qui prennent le pouvoir avec ce texte, avec ces petites séquences, qui décident de ce qui se passe et de comment ça se passe, qui choisissent à chaque fois en direct l’ordre des choses, les distributions, qui font un spectacle comme on donne un concert de rock, dans le plaisir et à vif. C’est comme une casserole de lait sur le feu, c’est jusqu’à ce que ça déborde…

C’est un spectacle à la frontière entre ce qui est décidé et ce qui nous tombe dessus, entre ce qu’on veut et ce qu’on subit, qui puise son essence dans l’envie de spontanéité et la volonté d’être plus que jamais vivant.

C’est comme quand on te dit : « vas y maintenant c’est à toi ! » mais que tu ne sais pas ce que tu dois faire…

Ce qui nous intéresse, à travers ce spectacle, c’est de poser la question de l’intime et de l’anecdotique, au théâtre peut-être, mais surtout face à un public.

Est-ce que tout peut faire spectacle ?

Il s’agit à la fois de se demander comment est-ce qu’on raconte sa vie en public, et comment est-ce qu’on parle en tant que soi devant d’autres. Qu’est-ce que le fait d’être écouté, d’être en regard engendre dans notre narration personnelle ?

Comment se met-on en scène ?

Et ça veut dire quoi  « faire son intéressant·e » ? 

PRESSE

 

« On vit dans un monde de slogans. Publicitaires. Politiques. Des vocables courts et rapidement assimilables. Maîtriser la langue est la seule manière d’accéder à une connaissance élargie de soi et des autres.

Telle semble être la tentative des presque 70 personnages de cette pièce formant l’échantillon d’une humanité très contemporaine. (…)

L’auteur pose un regard très juste sur nos contemporains, avec un humour assez mordant, sans concession… On est ou frappé par l’intelligence de l’analyse, ou amusé par la situation et du coup ça marche…. On est pris par le procédé et on se regarde hagards : nous les humains ! »

Collectif À Mots Découverts

« Le spectateur est subjugué par la performance de ces comédiens hagards qui nous entraînent entre l’attendu et l’inattendu, la gêne et le rire, tout en laissant émerger, en nous, tendresse et poésie. »

 Revue Bancal, La critique complète ici

« (Les saynètes) reposent sur des dialogues incisifs, mais non dépourvus d’humour, qui traduisent tant la vacuité existentielle des personnages, souvent en posture d’auto-analyse, et leurs difficultés de communication que l’embarras, l’effarement et la peur que génère la relation à l’autre. Et, sur scène, office avec une belle énergie chorale un épatant sextet. »

Froggy’s Delight, la critique complète ici

« Tout est expression, y compris les silences, quand il n’y a pas de mots possibles, c’est le corps qui s’exprime. Sous cet éclairage cru, on rit souvent, on s’interroge. Les artistes ont une parfaite maîtrise de leur jeu, s’ils improvisent le choix des scènes à interpréter, on ne le sent jamais. Il faudrait assister à plusieurs représentations pour vraiment appréhender leur concept. »

Reg’arts, La critique complète ici

« La lumière est en effet à l’envi, impitoyable : elle éblouit, elle aveugle, elle éclaire ce que l’on aimerait cacher… le technicien, qui improvise lui aussi, se met au diapason des comédiens, nécessairement très à l’écoute les uns des autres. Ensemble, ils portent Hagards avec une belle énergie et un vrai sens du jeu. C’est toujours juste, et souvent drôle. »

Axe Libre, la critique complète ici

POUR LIRE LE DOSSIER DU SPECTACLE, CLIQUEZ ICI

GÉNÉRIQUE

Texte et mise en scène : Matthias Claeys

Avec : Marie Camlong, Kévin Dez, Romain Pichard, Elisa Pietrini, Marion Romagnan et Nadège Sellier.

Création graphique de l’affiche : Violaine Martin

Crédit photo : cie-mkcd

Projet soutenu par le studio En Cours, la Ménagerie de Verre dans le cadre du StudioLab, ARCADI dans le cadre des Plateaux Solidaires, Mains D’Oeuvres et la Mairie de Paris dans le cadre de Paris Jeunes Talents. Hagards est paru chez ALNA Éditeur.

Hagards a été créé à La Loge (Paris) en janvier 2015

C’est un spectacle qui tourne autour d’une interrogation : quand je prends la parole, qu’est-ce que les autres perçoivent de moi ? Quand je suis pris·e sous le feu des projecteurs, comme un lapin dans les phares, quand on attend de moi que je dise les mots justes, quand je ne peux plus me soustraire aux regards, comment est-ce que je m’en sors ?

QUAND TOUT LE MONDE TE REGARDE…

Le texte est une succession de petites séquences, qui traitent toutes de la prise de paroles face à un public, quelqu’il soit, de cette sensation que parfois les mots nous dépassent, en disent trop ou pas assez, que tout ce qu’on dit, ce qu’on fait a un impact qu’on ne maîtrise pas. Le spectacle est pensé pour être différent à chaque fois, à la merci du moment, des énergies…

A CHAQUE FOIS DIFFÉRENT…

Ce sont des actrices et des acteurs qui arrivent pour prendre la parole, qui prennent le pouvoir avec ce texte, avec ces petites séquences, qui décident de ce qui se passe et de comment ça se passe, qui choisissent à chaque fois en direct l’ordre des choses, les distributions, qui font un spectacle comme on donne un concert de rock, dans le plaisir et à vif. C’est comme une casserole de lait sur le feu, c’est jusqu’à ce que ça déborde…

C’est un spectacle à la frontière entre ce qui est décidé et ce qui nous tombe dessus, entre ce qu’on veut et ce qu’on subit, qui puise son essence dans l’envie de spontanéité et la volonté d’être plus que jamais vivant.

C’est comme quand on te dit : « vas y maintenant c’est à toi ! » mais que tu ne sais pas ce que tu dois faire…

« Ce qui m’intéresse, à travers ce spectacle, c’est de poser la question de l’intime et de l’anecdotique, au théâtre peut-être, mais surtout face à un public.

Est-ce que tout peut faire spectacle ?

Il s’agit à la fois de se demander comment est-ce qu’on raconte sa vie en public, et comment est-ce qu’on parle en tant que soi devant d’autres. Qu’est-ce que le fait d’être écouté, d’être en regard engendre dans notre narration personnelle ?

Comment se met-on en scène ?

Et ça veut dire quoi  « faire son intéressant·e » ? »

Matthias Claeys

PRESSE

 

« On vit dans un monde de slogans. Publicitaires. Politiques. Des vocables courts et rapidement assimilables. Maîtriser la langue est la seule manière d’accéder à une connaissance élargie de soi et des autres.

Telle semble être la tentative des presque 70 personnages de cette pièce formant l’échantillon d’une humanité très contemporaine. (…)

L’auteur pose un regard très juste sur nos contemporains, avec un humour assez mordant, sans concession… On est ou frappé par l’intelligence de l’analyse, ou amusé par la situation et du coup ça marche…. On est pris par le procédé et on se regarde hagards : nous les humains ! »

Collectif À Mots Découverts

« Le spectateur est subjugué par la performance de ces comédiens hagards qui nous entraînent entre l’attendu et l’inattendu, la gêne et le rire, tout en laissant émerger, en nous, tendresse et poésie. »

Revue Bancal, La critique complète ici

« (Les saynètes) reposent sur des dialogues incisifs, mais non dépourvus d’humour, qui traduisent tant la vacuité existentielle des personnages, souvent en posture d’auto-analyse, et leurs difficultés de communication que l’embarras, l’effarement et la peur que génère la relation à l’autre. Et, sur scène, office avec une belle énergie chorale un épatant sextet. »

Froggy’s Delight, la critique complète ici

« Tout est expression, y compris les silences, quand il n’y a pas de mots possibles, c’est le corps qui s’exprime. Sous cet éclairage cru, on rit souvent, on s’interroge. Les artistes ont une parfaite maîtrise de leur jeu, s’ils improvisent le choix des scènes à interpréter, on ne le sent jamais. Il faudrait assister à plusieurs représentations pour vraiment appréhender leur concept. »

Reg’arts, La critique complète ici

« La lumière est en effet à l’envi, impitoyable : elle éblouit, elle aveugle, elle éclaire ce que l’on aimerait cacher… le technicien, qui improvise lui aussi, se met au diapason des comédiens, nécessairement très à l’écoute les uns des autres. Ensemble, ils portent Hagards avec une belle énergie et un vrai sens du jeu. C’est toujours juste, et souvent drôle. »

Axe Libre, la critique complète ici

POUR LIRE LE DOSSIER DU SPECTACLE, CLIQUEZ ICI

GÉNÉRIQUE

Texte et mise en scène : Matthias Claeys

Avec : Marie Camlong, Kévin Dez, Romain Pichard, Elisa Pietrini, Marion Romagnan et Nadège Sellier.

Création graphique de l’affiche : Violaine Martin

Crédit photo : cie-mkcd

Projet soutenu par le studio En Cours, la Ménagerie de Verre dans le cadre du StudioLab, ARCADI dans le cadre des Plateaux Solidaires, Mains D’Oeuvres et la Mairie de Paris dans le cadre de Paris Jeunes Talents. Hagards est paru chez ALNA Éditeur.

Hagards a été créé à La Loge (Paris) en janvier 2015