C’est une petite pièce de théâtre qui fait irruption là où des gens attendent, ou boivent un verre. Et d’un coup, on devient le public d’un match amical, les participant·es à un entraînement sportif collectif, ou encore les membres d’une association pour l’organisation de JO contestataires. Emmenée par trois comédien·nes, cette forme légère et joyeuse interroge certains de nos rapports aux sports, nos capacités à inventer, et à prendre soin de nos fascias. Vous voyez ce que c’est les fascias ?

On admet, on a voulu profiter de l’argent des JO. Voilà, c’est dit.

Et comme on est pas tout à fait cynique, on s’est demandé ce que ça pouvait nous faire dire, et sous quelle forme. D’abord, on a créé le projet SPORTS autour d’ateliers de création artistiques en lycées, il s’agissait pour les volontaires de créer des formes spectaculaires qui intégraient des questions / esthétiques / références sportives. Ensuite, on a eu envie de s’appliquer la consigne : si en tant que mkcd, on nous demandait de faire ça, qu’est-ce qu’on ferait ?

Dans la lignée de notre envie de créer des Petites Pièces à Jouer (PPJ), nous avons imaginé cette version de SPORTS, qui ressemble à notre travail tout en le décalant. Comme à notre habitude, ce sont des fictions, on y parle comme dans « la » vie, les lieux où on joue ne sont pas les lieux où la fiction se déroule. C’est vif, vivant, drôle. On assume l’envie de comédie, pour interroger de manière irruptive ce qu’on devient quand on regarde ses enfants jouer à un match, ce que les réflexions des coachs sportifs disent de la société que nous construisons et qui nous façonne, ce que les associations sportives peuvent porter de politique, et ce que ces instantanés sportifs peuvent raconter de nos rapports humains. Le tout en 25 minutes.

C’est une petite pièce de théâtre qui fait irruption là où des gens attendent, ou boivent un verre. Et d’un coup, on devient le public d’un match amical, les participant·es à un entraînement sportif collectif, ou encore les membres d’une association pour l’organisation de JO contestataires. Emmenée par trois comédien·nes, cette forme légère et joyeuse interroge certains de nos rapports aux sports, nos capacités à inventer, et à prendre soin de nos fascias. Vous voyez ce que c’est les fascias ?

On admet, on a voulu profiter de l’argent des JO. Voilà, c’est dit.

Et comme on est pas tout à fait cynique, on s’est demandé ce que ça pouvait nous faire dire, et sous quelle forme. D’abord, on a créé le projet SPORTS autour d’ateliers de création artistiques en lycées, il s’agissait pour les volontaires de créer des formes spectaculaires qui intégraient des questions / esthétiques / références sportives. Ensuite, on a eu envie de s’appliquer la consigne : si en tant que mkcd, on nous demandait de faire ça, qu’est-ce qu’on ferait ?

Dans la lignée de notre envie de créer des Petites Pièces à Jouer (PPJ), nous avons imaginé cette version de SPORTS, qui ressemble à notre travail tout en le décalant. Comme à notre habitude, ce sont des fictions, on y parle comme dans « la » vie, les lieux où on joue ne sont pas les lieux où la fiction se déroule. C’est vif, vivant, drôle. On assume l’envie de comédie, pour interroger de manière irruptive ce qu’on devient quand on regarde ses enfants jouer à un match, ce que les réflexions des coachs sportifs disent de la société que nous construisons et qui nous façonne, ce que les associations sportives peuvent porter de politique, et ce que ces instantanés sportifs peuvent raconter de nos rapports humains. Le tout en 25 minutes.